Artistes
Mélanie Gobet
Mélanie Gobet est née à Genève (13.10.88, 10:58) et grandit dans la campagne fribourgeoise. Après avoir expérimenté différentes pratiques de danse, elle choisit la danse contemporaine et se forme à Londres au sein de la London Contemporary Dance School. Parce qu’elle aime lire, elle décide ensuite de consommer son amour à l’Université de Fribourg en effectuant un Bachelor en Français et Journaliste et Médias. Elle poursuit ses expérimentations académiques et artistiques à l’Université Paris 8, dans le cadre d’un Master de recherche en danse.
Profondément campagnarde, elle revient après ses séjours dans les capitales dans la ville de Romont qui l’a vue grandir et garde un contact avec la ville en entreprenant un Master en Contemporary Art Practice, section Performance à la Hochschule der Künste de Berne. Depuis 2013, elle expérimente avec sa compagnie mg2+cie des pratiques en scène, hors-scène, in situ, en groupe, en solo. Active en tant qu’interprète, curieuse et touche à tout, elle danse autant pour l’Opéra de Lausanne (2016) que pour des projets non-institutionnels.
Depuis 2011, elle est interprète pour la Cie Echo!Centrique (Melinda Golay, Lausanne), Cie Va-et-Vient (Richard Kaboré, Vevey), Cie Willi Dörner (Vienne), Cie Cécile Proust (Paris) et Frauke Requardt Dance (Londres). En outre, elle prend part à différents ateliers de recherche : ArtScène en Live (Monthey), Choreographic Laboratory (Lucerne), Gazing and Dancing (Paris). Très sensible au partage et à la transmission de la danse, elle dispense depuis 2008 des cours de danse contemporaine, classique, hip-hop et d’éveil corporel dans différentes écoles du canton de Fribourg.
Sara Buncic
Sara est née en 1991 à Bellinzona, Tessin. Dotée d’une solide formation et ayant acquis de l’expérience aussi bien en suisse qu’à l’étranger avec la Cie. Backhausdance (Californie), à l’Academy of Performing Arts (Californie), à la Moving Factory pour la comédie musicale (Tessin), et l’Association danse classique et moderne (Tessin), elle obtient en 2013 le certificat d’étude chorégraphique et danseuse professionnelle de la formation Le Marchepied à Lausanne. Elle a eu l’opportunité de travailler avec différents chorégraphes tels que Corinne Rochet et Nicholas Pettit (Cie Utilité Publique / directeurs de la Page 1 sur 1Philibert Tologo, Marco Cantalupo et Katarzyna Gdaniec (Cie Linga).
En 2013, elle présente également le projet «Avant l’oubli» dans le cadre des «Quarts d’heure» du Festival des Printemps de Sévelin en collaboration avec Carla Affolter et Iris Barbey. En 2014, elle présente le projet «Piétonnie en série» dans le cadre de la Fête de la Danse en collaboration avec Claudia Manes, Carla Affolter et Raphaëlle Savina. Elle danse aussi dans la vidéo tournée par Marko Lulic «Proposal for a worker monument» pour le festival de sculpture à Bienne «Performing the city». Dans le même festival, elle joue «Drift» pour Trisha Brown.Sara fonde en 2015 la Cie. Elidé et crée en 2016 la première pièce sous l’égide de la compagnie : « Gargoyle Terminus ». En continuant à travailler en parallèle comme danseuse interprète Sara travaille en 2017 avec la Cie. C pour la reprise du « Sacre du Printemps » et la création de « Ma mère l’Oye ».
Luisa Schöfer
Luisa Schöfer est née en 1985 à Berlin. Pratiquant la gymnastique rythmique sportive depuis ses dix ans, elle intègre l’équipe nationale allemande quatre ans plus tard. A l’âge de vingt ans, elle commence les études de Rythmique à l’Université des Arts de Berlin qu’elle poursuit à l’Institut Jaques Dalcroze de Genève. Dans ce cadre, elle y obtient notamment un certificat de piano et le prix pour la meilleure création en 2008. Suite à l’acquisition de la Licence d’Enseignement en 2009, elle enseigne la méthode Jaques Dalcroze durant trois ans. Parallèlement, elle se forme en danse contemporaine au sein du Marchepied à Lausanne. Par la suite, Luisa collabore avec les compagnies Danse Habile et Velvet Blues, basées à Genève.
Depuis 2012 et jusqu’à ce jour, Luisa est engagée en tant que tutrice chorégraphique pour les étudiants en Master à l’Institut Jaques Dalcroze. En cette même année, elle commence son travail avec la compagnie Alias / Guilherme Bothelo et tourne régulièrement avec les pièces du répertoire. En 2014 elle est invitée au Stadttheater Bielefeld en Allemagne en tant que danseuse soliste dans la pièce Le Poids des Eponges de Guilherme Bothelo. Pendant ces deux dernières années, Luisa travaille avec Emily Jeffries, chorégraphe américaine basée à Berlin, Richard Kaboré / Va-et-vient et Jasmine Morand / Prototype Status à Vevey. En partenariat avec Isabelle Schramm, elle crée la compagnie DYAD en 2016.
Myrto Charitaki
Myrto est née en 1993 à Crète, une belle île grecque. Elle a assisté à son premier cours de classique à l’âge de six ans, sous la direction affectueuse de l’instructrice Madame Dorobantsu G. Cerasella. À l’âge adulte, elle décide de s’installer dans la capitale (Athènes) et d’étudier la danse à l’Ecole de Danse Professionnelle de Kontaxaki. Au cours de sa dernière année d’études, elle a remporté le prix du meilleur danseur de 2014 à l’échelle nationale.
Il a fallu quelques années de cours, de séminaires et une solide formation en danse contemporaine. 2015 a vu ses débuts avec Martin Creed, lors de son exposition personnelle à Athènes. En 2016, elle a dansé pour « Giannis Karounis » au « Athens Video Dance Project » et quelques mois plus tard à nouveau dans la pièce « Femme » avec son groupe de danse. En même temps, son amie Archontaki Katerina la présente comme « Selana » dans sa chorégraphie dans le cadre de la plate-forme META qui s’est déroulée à Athènes. Elle a ensuite rejoint la compagnie junior Le MARCHEPIED à Lausanne pour la saison 2016/2017. Maintenant elle s’engage avec Cie Anivas et elle donne aussi des cours classique et contemporaine à Lausanne.
Collectif Gladisse
Gladisse est un projet d’art digital et d’exploration visuelle
basée sur le VJing. Le duo est composé par deux passionnées de vidéo, Julia De Martino et Lou Savary.
Gladisse est une âme.
Dans les tréfonds du noir et du bizarre, elle se déhanche en une jungle virtuelle.
Elle divise ses cuisses entre l’homme des temps modestes, un monde aquatique semé d’excitants dangers et un champs fleuri de folies humainement magnétiques.
Antoine Lot
Antoine Lot est né en Haute-Savoie en 1994. Très vite, il se passionne pour un monde qui l’accompagnera toute sa vie : la musique. C’est d’abord en tant qu’auditeur de différentes radios qu’il enregistre sur des cassettes les morceaux de ses groupes préférés. Après son déménagement à Bayeux, s’entoure rapidement de de passionnés de hard rock et de heavy metal et développe presque un culte pour certains groupes du genre. C’est à l’Age de 13 ans qu’il se lance dans l’apprentissage de la guitare acoustique, puis électrique dans le but de former un groupe avec ses camarades. C’est à 15 ans qu’il déménage à la Tour-de-Peilz en Suisse et c’est un grand chamboulement de culture musicale qui s’opère puisqu’il découvre la richesse de la musique électronique.
Il découvre par la suite le monde de la nuit et rejoint en premier lieu le groupe de bénévoles de Décal’quai à Montreux à 18 ans, puis du RKC à Vevey durant les 3 prochaines années. Il découvre alors multitudes d’influences musicales et développe une fascination pour le concept du Disc-Jockey. C’est lors d’un voyage à Berlin avec un très bon ami à lui qu’il touche pour la première fois à une table de mix et c’est la révélation. Son rêve est désormais de pouvoir se produire sur scène, en tant que DJ. Très vite, il arrive à décrocher une date au Bourg ou son style « Sportif » séduit les foules et le gérant qui le réinviteront à 4 reprises dans l’établissement.
Déterminé à continuer dans cette lancée, il fonde en février 2019 le collectif de la Talweg, composé aujourd’hui de 12 personnes entre Vevey, Montreux et Lausanne. Antoine, ou « Lotasse » se verra jouer dans différents endroits de la région comme Décal’quai et le NED à Montreux, le RKC à Vevey ou encore le Folklor à Lausanne.
Ses influences, clairement inspirées de la culture rave, promettent à ses spectateurs une expérience intense, rythmée, atypique, qui cherche constamment à sortir des sentiers battus de la scène techno de la Riviera considérant le rôle du DJ comme un rôle de musicien à part entière.
Luca Gianola
Luca Gianola est né sous le soleil du Tessin en 1990. Pendant toute son enfance, il pratique plusieurs sports. C’est seulement à l’âge de 18 ans qu’il commence réellement à pratiquer la danse et non plus à la vivre uniquement en tant que spectateur. Il commence à suivre la formation en danse contemporaine et modern-jazz de l’Association Moto Perpetuo, Lugano sous la direction de Manuela Bernasconi et Francesca Sproccati. Il participe à plusieurs stages de danse contemporaine et de danse-théâtre en Suisse, en Italie et en Angleterre (avec des danseurs du Barak Marshall Dance Company, Diversions Dance Company of wales, Maria Bonzanigo, German Juaregui et The PARTS).Entre 2010 et 2011, il fait partie du MARCHEPIED, dirigé par Corinne Rochet et Nicholas Pettit, et participe à la tournée avec les créations « Jouer à Super Cluster » et « Close the Loop ».
En 2012, pour la soirée d’anniversaire des 10 ans du Marchepied, il collabore avec Luisa Schöfer dans la création du duo «Hi life». Cette même année, il danse dans la chorégraphie de Pascale Gaud «Fluide dense» lors de la 1ère édition du Cerise Festival, accompagné par deux violonistes. Par la suite il continue à danser et collaborer avec Pascale Gaud pour plusieurs spectacles (« Les chaises musicales » 2013, « Zébrures » 2013, « Trois poules sur un mur » 2014, « Le Ciel de Rameau » 2015, « Casse-noisette » 2015, « Le Gant de Léontine », 2015).
En 2013 il fonde sa compagnie AntiFoni avec laquelle il crée sa première pièce « s-light-ly » présentée à la 2ème édition du Cerise Festival.Dans la même année, il parts six mois à Turku (Finlande) ou il danse avec Raija Lehmussaari dans ses créations. Depuis 2013 il danse avec la compagnie mg2+ dans plusieurs créations (« Simone 2.0 » 2013, « Les bleus » 2014, « Touch me » 2014).En 2014 il collabore avec la compagnie Fluid‘Sens Trio dans la création dela pièce « Nexius ».Depuis 2014 il enseigne et donne des stages dans différentes écoles et il continus à créer des pièces avec sa compagnie: « Quartetto » 2016, « Boarding », 2017.
Parallèlement, depuis 2014, il travaille autant qu’infirmier en soins intensifs de pédiatrie.
Romain Keller
Romain Keller est un photographe et retoucheur.
Né en 1993 dans le reflet du lac Léman, en Suisse.
– Certificat fédéral de capacité en photographie à l’Ecole d’Arts Appliqués de Vevey (2015)
– Rejoint le collectif Strates et réside dans une expérience professionnelle, hétéroclite en matière d’images, de graphisme, d’impression et de communication.
Il oeuvre principalement dans le portrait, l’architecture et la post-production, tout en gardant en tête ses propres projets, essentiellement basés sur l’étude du genre humain et de son environnement.
Yann Dorsaz
Yann Dorsaz naquit en 1994 à Martigny en Valais. Il commença la danse quand il avait 6 ans après avoir vu un spectacle à la Belle Usine à Fully. Malgré son jeune âge, il a su instinctivement qu’il était fasciné par la scène. Il entra au conservatoire cantonal de Sion dans lequel il suivit des cours de danse classique et contemporaine. Pendant sa formation, il développa un certain intérêt pour l’expression de l’émotion et de la sensibilité à travers de mouvements subtils. Il explora de nombreux aspects de sa personnalité pour exposer sur scène la complexité de l’être humain dans une large palette de nuances.
Après avoir réussi sa maturité gymnasiale au collège de la Royale Abbaye de Saint-Maurice en 2013, il décida de poursuivre ses études à l’université de Codarts à Rotterdam. En dernière année, il suivit pendant une saison entière le stage à Norrdans en Suède où il eut un premier contact avec le monde professionnel de la danse. Yann est à présent indépendant qui a travaillé avec Igor Piovanni, Nicolas Cantillon, Corinne Rochet, Nicholas Pettit and Gregory Stauffer.
En parallèle de la danse, Yann s’est intéressé également à des disciplines qui visent à trouver un équilibre entre le corps et l’esprit tel que le yoga ou encore la phytothérapie. En Août 2017, il suivit une formation d’un mois à Goa en Inde afin d’obtenir son diplôme de professeur de yoga.
Brice Arside
Brice débute la danse à l’âge de 5 ans dans une association pour l’aider dans ses troubles de la parole très vite, il devient passionné du rock acrobatique
En 2006 il rentre dans une équipe nationale de haut niveau en France. Peu après il est recruté dans l’équipe de France de niveau international jusqu’en 2010. Ensuite en 2011 il intègre une équipe nationale (Suisse) le BCSWING. Brice devient professeur, durant la même année il découvre d’autre danse comme le jive ou le Boogie woogie. Il rentre officiellement dans l’équipe suisse de niveau international de rock acrobatique en 2016.
En parallèle, il fait des études dans la santé et le social pendant 3 ans en France.
2014/2017 Il change complètement de voie, pour se consacrer entièrement à la danse, il rentre dans le centre de formation professionnelle des arts à Genève en Suisse à plein temps pour exercer le métier de danseur interprète, un intérêt qui ne le quitte plus.
En 2017/2018 il fait une saison avec la Compagnie Junior LE MARCHEPIED
Il a également travaillé pour la compagnie Anivas sur la création « Dreamparty » < soirée de rêve > et pour la Compagnie Utilité publique pour la reprise de la pièce faite en 2007 « ALRIGHT LOVE ». Il s’engage pour la saison 2018/2019 auprès de la Cie Junior Le MARCHEPIED en tant que danseur émergent.
Christophe Jovancevic
Christophe Jovancevic aka jovachrist est DJ. Principalement inspiré par la musique des années 80, ce programmateur basé sur l’arc lémanique et resident du Bourg à Lausanne collectionne les artefacts d’avant-garde, les bribes sonores d’univers oubliés et les échos témoins des histoires cachées.
« JOVACHRIST » travaille de la manière la plus privée possible; en re-réalisant cette musique avec des publics sélects, désireux de découvrir de nouveaux territoires musicaux, avides de repousser de nouvelles frontières et d’explorer leurs propres limites de fantaisie. Ce musicien de 32 ans propose une sélection d’idées soufflant en profondeur dans les eaux troubles de la sous-culture. L’expérience n’est pas seulement musicale, elle est aussi une clé pour acquérir une meilleure compréhension d’un monde abyssale à la géometrie résolument variable.
Dans les cavernes, au petit matin des raves party, le public est invité à plonger, comme sous l’influence d’un poisson psychotrope à action lente, dans l’abstraction, guidé au tréfonds d’atmosphères inconnues, provoquant d’étranges sensations pour l’auditeur entre rêve lucide et réalité onirique.
Vivien Vinsonneau
Passionné, minutieux et curieux, Vivien s’intéresse aux mécanismes en tous genres. Dès son enfance, il fragmente ses jouets pour comprendre leur fonctionnement de l’intérieur. Depuis les années 2000, il se trouve une passion pour le son, autodidacte ,il expérimente diverses expériences, enregistrement studio, sonorisation live. En 2004, il se dirige vers un Brevet d’étude professionnel en électrotechnique et se spécialise dans l’énergétique avec un Bac professionnel en 2006 (France). Parallèlement, il se forme sur le métier de technicien du son en accompagnant et supervisant des groupes locaux (France).
Entre 2013 et 2014, il devient résident dans la salle le local à Marseille (France) et consolide ses compétences, accueil, supervision de l’installation, mixage,entretien du matériel. Véritable touche à tout, il quitte son pays d’origine et intègre diverses compagnies émergentes vaudoise, Cie Élidé 2016, Cie Anivas 2018-2021 et découvre les salles Suisse l’espace D Renens, Décal’Quai Montreux, Fri-Son Fribourg et l’espace 2m2c Montreux. Désirant se qualifier d’avantage en suisse, il intègre le CFMS à Lausanne afin d’accéder au brevet fédéral de technicien du son. Parallèlement, il intervient pour des associations culturelles et artistiques.
2021 Technicien pour : « Cie Anivas »PORT_iK résidence le NED – Montreux , « Cie Anivas » PORT_iK résidence la 17éme – Montreux , « Check One Two » Bar de la ferme – Nyon ,« Festival Healing Heart » – Genève , « Cie Anivas » PORT_iK Décal-quai – Montreux, « Cie Anivas » PORT_iK la filature – La Sarraz , Beau-Rivage Palace – Lausanne, « LauzOne » place de l’Europe – Lausanne.
Full Pitch
Originaire d’Evian, Full Pitch, développe des compositions musicales à mi-chemin entre musiques électroniques, break beat, trip-hop et électro-rock. Souvent référencé par des films, séries télévisés ou manga son univers s’inspire de multiples sources. De Kurusawa à Samurai Champloo, en passant par les muppets show. Full pitch s’inspire, sample, mix et fonde un univers musical singulier.
Actif depuis 2007, ces expériences sont multiples : Il participe activement au crew « Feeling and Sound » tenu par Dj Duckk.
En Janvier 2012, il est contacté par le réalisateur PAN! pour créer la bande son de son projet de vidéo sportive, qui remportera le concours Urbandrift longskate video party 7 : Catégorie DownHill à Paris.
En Mars 2012, il est repéré par la radio Couleur 3 avec un remix du générique du manga Samurai Shamploo et est diffusé dans Sessions Métissages.
En Octobre 2012, à la demande du label Feeling and Sound il réalise « STREET », et son clip, qui est diffusé, en Novembre 2012, sur Couleur 3 dans l’émission Électro Libre.
En Décembre 2012, il compose la musique d’une vidéo de Mister Pan! pour la Commission Skateboard de la Fédération Française Roller Sports qui présente le Long-skate.
Il a travaillé avec l’ École Supérieure d’Art et Design de Saint-Étienne et .CORP sur plusieurs projets vidéo, reportages et jeux vidéo.
En 2013 c’est un projet de live qui voit le jour et qui retrace ces meilleures compositions depuis 2007.
Loic Lador
Je me suis intéressé à la danse dès l’âge de 4 ans, après avoir vu un spectacle de danse contemporaine. A 5 ans je commence à danser à l’Atelier Danse Manon Hotte (ADMH), de 2000 à 2012, puis en 2007, j’entre dans la Cie Virevolte (la compagnie de l’ADMH) et y reste jusqu’en 2012.
L’ADMH et la Cie Virevolte, sont des lieux qui lient formation artistique et création. J’y reçois une formation de danseur-créateur en danse contemporaine. Avec sa pédagogie de création, l’ADMH/Cie Virevolte m’apprennent à découvrir, explorer, créer, interpréter et réagir.
Pendant ces années-là, mon intérêt pour la danse grandit de plus en plus et je m’inscris alors dans la formation professionnelle des Arts Appliqués de Genève en danse contemporaine et obtient au bout des 3 années d’études mon Certificat Fédéral de Capacité (CFC) ainsi qu’une Maturité Artistique Professionnelle (MPA).
Voulant approfondir ma curiosité dans le monde de la création chorégraphique, j’ai intégré Le MARCHEPIED pour la saison 2015/16.
De septembre 2016 à janvier 2018, j’ai effectué mon service civil dans le milieu social et médico-social.
En parallèle à cela, je suis bénévole dans divers événements sociaux et culturels.
Julia Rempe
Julia Rempe, jeune styliste-costumière de 23 ans, a débuté dans le domaine de la mode et de la couture à l’Eracom, durant trois années.
S’en suit une spécialisation de costume de théâtre à l’Ensatt dans la ville de Lyon.
Elle se dédie actuellement au costume et à la mode de manière écologique. En récupérant des vêtements de seconde main ou/et de la matière première destinée à l’incinération, elle réinvente et leur redonne vie à travers de nouvelles créations.
Antonin Mélon
Antonin Mélon est né à Saint-Pierre sur l’île de la Réunion, il pratique la danse contemporaine tout au long de sa scolarité. Après s’être formé au conservatoire, il poursuit ses études au Ballet junior de Genève (2019/2022). Au sein duquel, il aborde le travail de différents chorégraphes comme Hofesh Shechter, Roy Assaf, Barak Marshall, Noa Zuk, Rachid Ouramdane…
Il participe depuis 2021 au projet RED PHRASE chorégraphié par Sophie Hasslauer, projet réunissant arts plastiques, création musicale et chorégraphique autour de la couleur rouge.
En 2022, il a créé sa première pièce « D’où l’on trouve à s’orner », pièce pour 6 danseurs. Il intègre la CIE MARCHEPIED en début 2023 et travaille ensuite avec Marie Caroline Hominal pour sont projet « Numéro 0 ».
Courant 2023, il co-créer « En Mai » en duo avec Jérôme Février.
Iris Barbey
Iris Barbey est née en 1989 à Yverdon-les-Bains.
Danseuse, chorégraphe et pédagogue, diplômée de la formation « Le Marchepied » à Lausanne.
Depuis sa sortie de formation en 2012, elle mêle enseignement, création et divers projets avec comme moteur : le mouvement. En 2013, elle présente le projet «Avant l’oubli» dans le cadre des «Quarts d’heure» du Festival « Les Printemps de Sévelin » en collaboration avec Carla Affolter et Sara Buncic et participe aux courts métrages « Monolithe » et « Limitamentum », ainsi que plusieurs projets photographiques de Jean-Sébastien Monzani.
En 2015, elle danse dans la création « Sous les fleurs » d’Alexandra Lemoine, participe au projet de film « Parade » d’Emmanuelle Antille et assiste Guillaume Pi pour la mise en scène de « La Route/Le Monstre » de la Cie les Cartes Postales.
Depuis 2016, elle est assistante chorégraphe puis chorégraphe pour le spectacle d’enfants de La Paternelle.
En 2020, elle créé le projet « 20 Mille Lieux » un camion-scène itinérant, en collaboration avec Tom Mendy et Guillaume Pi.
En 2021, elle chorégraphie et interprète « Naufrage », en collaboration avec le « 20 Mille Lieux » pour un projet culturel et social de la ville d’Onex.
Entre ces projets artistiques, elle enseigne dans diverses structures afin de transmettre sa passion pour le mouvement et continue à se former au gré de ses envies, à l’escalade, la danse verticale, le travail de portés et poursuit l’approfondissement de ses connaissances dans le domaine de la danse contemporaine.